L’accès à cet article est réservé aux abonnés.

A propos de l'auteur :

Université Sophia-Antipolis, Nice, Laboratoire I3M, Toulon-Nice et Laboratoire Paragraphe Paris 8. Ancien enseignant et chercheur associé au Centre de Recherche des écoles de l’École militaire de Saint Cyr-Coëtquidan. Max Noyer intervient également dans le cadre universitaire et de recherche de certains pays émergents (membre de l’association Euromed-IHEDN). Il est co-fondateur du réseau de recherche sur les devenirs numériques (GRICO), de la revue SOLARIS et d’ARCHIVESIC (archives ouvertes en Sciences de l’information et de la communication), co-directeur de la collection « Territoires Numériques » aux Presses des Mines-Paris Tech et co-editor-in-chief de la collection « Intellectual Technologies », ISTE Science Publishing, Wiley, Londres. Ses activités portent sur les transformations du procès de travail, les technologies intellectuelles émergentes et les nouvelles formes organisationnelles. Ses recherches portent aussi sur la production et la circulation médiatique des savoirs, les écritures dans leurs dimensions pragmatiques et le mouvement « OPEN » en général. Il poursuit par ailleurs des travaux concernant la polémologie et les enjeux stratégiques et géopolitiques des nouvelles technologies. Il a dirigé aux éditions Hermès-Lavoisier, Paris, Guerre numérique et Stratégie, 2002 et (avec B. Juanals) Technologies de l’Information et Intelligences Collectives, 2010 et publié diveres études sur les technologies de l’information. Il est intervenu sur le thème « Le plissement numérique du monde, anthropocène et immunopolitique » aux Entretiens scientifiques Neptune à Toulon, « Environnements immersifs : nouvelles formes et mutations de l’information et de la communication », avril 2012.